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Bienvenue au cybercarnet de Geoffrey Hooker, diplômé de 2e cycle en bibliothéconomie
Bienvenue au cybercarnet de Geoffrey Hooker, diplômé de 2e cycle en bibliothéconomie
Voici la traduction d'un poste au sujet d'un article pour la classe de gestion des bibliothèques académiques à SLIS-Indy. J'ai trouvé l'article au Chronicle of Higher Education.
Une boîte de lingettes Huggies. (C'était tout près des W.-C. de l'étage d'entrée.)
Comment peut-on économiser en temps difficiles ? Aller à la bibliothèque au lieu de la librarie ou la vidéothèque.
Il y avait un article du Chicago Sun-Times qui n'est plus disponible en ligne.
D'abord, il y avait un seisme en Illinois méridional à 5h30 du matin heure avancée de l'est.
Le Lien du Jour des Bibliothèques de mardi, c'est un discours en blog du New York Times au sujet de la protection des contenus digitaux. J'ai pu le lire sans m'y inscrire.
Quand je décidai de poursuivre un diplôme en bibliothéconomie, je cherchai de l'information d'une vingtaine d'universités, de Kent State à l'est jusqu'à Denver à l'ouest, de Texas-Septentrional au sud jusqu'à Ste-Catherine au nord. J'étais prêt pour quitter la côte atlantique/ le Sud/ la région de capitale, pour revenir au Mid-west où j'avais grandi. Tous ces programmes sont anglophones. Il y a un programme de bibliothéconomie francophone reconnue par l'ALA à l'Université de Montréal ; je préférai un programme aux États-Unis.
Pour ma classe d'intro à l'informatique, je dois créer une présentation PowerPoint. Puisque je préfère travailler en OpenOffice pour le traitement de texte et le classeur, j'ai commencé par créer une présentation en Impress. Je croyais pouvoir exporter simplement la présentation. S'il n'y avait pas eu de formules dedans, j'aurais réussi.
En recherchant le sujet dont je me servirai pour la bibliographie annotée, j'ai trouvé des livres disponible en version électronique. Il y a des avantages et des désavantages d'un tel livre.
Le LJB (du BBC cette fois) de jeudi discute un site web canadien qui fournissait des partitions musicales en domain public. Le problème ici, c'est qu'il y a quelques œuvres dont les droits de l'auteur (le copyright) a expiré au Canada mais pas encore en Europe. Il s'agit des compositeurs qui sont morts il y a entre 50 et 70 ans. Un éditeur autrichien a décidé de fermer le site par pression légale.