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Protection de copie

Soumis par gerant le 16. Janvier 2008 - 8:32

Le LJB de mardi, c'est un discours en blog du New York Times au sujet de la protection des contenus digitaux. J'ai pu le lire sans m'y inscrire.

Quelques pensées quasi-aléatoires au sujet :

L'avertissement d'un CD que j'ai depuis 1991 :
Tous droits réservés. Les copies ou reproductions non-autorisées sont illicites.

J'en ai un autre depuis cette année avec l'avertissement en anglais et en allemand qui traduirait :
Tous droits du producteur et du possesseur de l'oeuvre reproduite réservés - Sauf autorisation, la copie, la location, le prêt et la performance et la diffusion publiques de ce disque sont interdits

L'avertissement d'un nouveau CD (que j'ai depuis Noël 2007) traduirait : AVERTISSEMENT CONTRE LA CONTREBANDE DU FBI :
La duplication sans autorisation est punissable sous les lois fédéraux.

Le prêt et la diffusion sont omis. Autrefois, ils étaient là. Combien d'équipes athlétiques des lycées se sont préparées pour leurs matchs aux performances de leurs chansons favorites ? Combien en ont reçu l'autorisation des éditeurs ? Il existe une exception pour l'usage éducatif ; applique-t-elle aux parties de basket ?

Mon père avait un ami qui nous a emprunté un K-7 guère disponible. Deux ou trois mois après, quand il nous l'a redonnée, il a expliqué qu'il attendait l'autorisation pour la copier.

Un club de sport et de santé que je connais a reçu un message de la société de télé sur câble. Celle-ci pensait que le club devrait payer plus cher parce que la câble contribuait aux divertissements.

Encore un ami a dit, pendant l'ère de VHS et la protection de contenu digital, son magnétoscope Betamax ne comprenait pas cette protection et n'y a prêté pas attention lors de copier le film.

Un programme de radio note que leur extrait le plus populaire n'est plus disponible. Donc les auditeurs voudraient chercher leurs magnétophones bientôt.

Mon vieux lecteur CD Sony me permet d'enregistrer de CD ou de la radio sur K-7. Si je baisse la volume pendant la lecture, l'enregistrement aurait la même volume. (Quand le lecteur-cassette n'est pas en panne, au moins.)

L'accès libre des matières en ligne affecte mes achats. Pendant des années, le Chicago Tribune a demandé que ses lecteurs en linge s'inscrivent mais le Sun-Times ne l'a pas demandé. Quand j'ai pu acheter un journal à Chicago, j'ai choisi le Sun-Times. S'il s'agissait d'un journal abandonné en train, j'ai pris ce qu'il y avait. Les tarifs de publicité pour les journaux et les revues reconnaissent qu'il y aura plus d'un seul lecteur pour numéro vendu.