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Comment j'ai choisi IUPUI

Soumis par gerant le 20. Décembre 2007 - 19:46

Quand je décidai de poursuivre un diplôme en bibliothéconomie, je cherchai de l'information d'une vingtaine d'universités, de Kent State à l'est jusqu'à Denver à l'ouest, de Texas-Septentrional au sud jusqu'à Ste-Catherine au nord. J'étais prêt pour quitter la côte atlantique/ le Sud/ la région de capitale, pour revenir au Mid-west où j'avais grandi. Tous ces programmes sont anglophones. Il y a un programme de bibliothéconomie francophone reconnue par l'ALA à l'Université de Montréal ; je préférai un programme aux États-Unis.

Il y avait deux facultés où j'aurais demandé l'admission si leurs dates limites avaient été plus tard. J'étais tellement occupé avec le changement de semestre à la fac où j'étais prof, et tout ce qu'il y avait d'autre en décembre, que je ne pouvais pas finir la demande d'admission pour l'Université d'Illinois à Urbana-Champaign ni pour l'Université du Wisconsin à Milwaukee, qui avait des limites du 15 janvier et du 1er février. UWM répondit à une question que j'y posai plus tard. Je pus soumettre ma demande à Ste-Catherine avant le 1er mars. Cette université n'est pas encore reconnue ; à présent, les diplômes viennent de l'Université Dominicaine.

Ayant reçu tous les papiers nécessaires, Ste-Catherine m'offrit l'admission. À ce moment, je pus me démissionner de la fac en Virginie. Je continuais les demandes aux universités Missouri (à Columbia) et Indiana (à Indianapolis). Après que les problèmes des relevés de notes se furent résolus, les deux facs m'acceptèrent.

Lors d'un voyage au Mid-west en juin, je visitai toutes les trois universités et les environs de St-Paul et Columbia. À Ste-Catherine, je pus connaître quelques personnes de l'école mais pas les profs dont je choisirais mon conseiller académic. La bibliothèque se trouvait au même pavillon que l'école de bibliothéconomie. C'était un joli campus en juin. Je trouvai une petite île avec quelques canards ; il y avait des tortues et un oiseau échassier dans la mare, qui mangeait des insectes et de petits poissons.

Mizzou (ainsi écrit pour éviter les prononciations distinctes -- « Missourie » ou « Missoura » ?) avait un terrain plus grand ; puisqu'il faisait gris le jour de ma visite, je me perdis un peu. J'étais arrivé un peu plus tard que j'avais eu projeté ; j'avais quelque problèmes (facilement corrigés) de voiture à St-Louis. L'École de bibliothéconomie n'occupait pas le même pavillon que la bibliothèque elle-même. Cette dernière avait quelques demi-étages. Ces demi-étages ne traversaient pas le pavillon et se trouvait entre les autres étages. Ils étaient parfois difficiles à trouver; on devrait monter le bon escalier pour trouver leurs étagères. Mizzou m'offrit également la possibilité de suivre les cours à distance au Missouri ou ailleurs dans la vallée du Missouri. Je ne voyais aucun prof lors de ma visite.

Tandis que la plupart de ma rédaction pour Ste-Kate suffisait pour la demande d'admission au Missouri, ce n'était pas vrai avec l'Indiana. C'était quand je rendais visite aux amis, aux camarades et aux profs au Dakota du Nord (entre deux visites à St-Paul) que j'ai appris qu'IU m'avait accepté. IU-SLIS Indy, l'école de bibliothéconomie et sciences de l'information, se trouve au-dedans de la bibliothèque universitaire à IUPUI (les Universités Indiana et Purdue à Indianapolis). J'avais rendez-vous avec mon conseiller académique en voyagent du Missouri en Virginie ; je lui avais déjà envoyé un courriel de mon adresse d'IUPUI. Tandis que la ville d'Indianapolis est la 12e plus grande ville aux États-Unis (classée par le numéro d'habitants), l'agglomération se trouve au 35e rang. Le terrain IUPUI se trouve à côté du centre-ville. De la bibliothèque, on voit le stade RCA Dome et les travaux pour le nouveau stade des Colts, Lucas Oil Field. Il y a d'autres avantages de l'endroit de cette fac ; c'est bien près de l'Université Taylor et j'ai pu voir quelques matchs sportifs à Taylor ou quand l'équipe de Taylor a joué à Indianapolis. Ayant décidé, c'était plus facile de visiter à Indy pour reconnaître la ville, le logement, et d'autres choses qu'il faudrait. Et de plus, la location d'un camion coûtait moins cher à Indy qu'aux villes du Minnesota.